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JPND soutient des projets de recherche transnationaux qui permettent aux chercheurs de collaborer à travers les frontières pour relever le défi mondial des maladies neurodégénératives.
Pays participants : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada, Danemark, Espagne, France, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, République tchèque, Suède, Suisse, Turquie
Objectifs
* Accélérer le progrès technique sur des techniques pertinentes qui bénéficient aux patients ou pour des applications scientifiques et cliniques de routine ;
* Permettre l’intégration de la recherche fondamentale et des études de rentabilité, le cas échéant ;
* Favoriser les études fondées sur des hypothèses et combinant des développements technologiques de pointe avec une question de recherche claire et substantielle
Priorities
* La maladie d’Alzheimer et autres démences ;
* La maladie de Parkinson et les troubles liés à la maladie de Parkinson ;
* Les maladies à prions ;
* Les maladies des motoneurones ;
* La maladie de Huntington ;
* L’ataxie spinocérébelleuse (ACS) ;
* L’atrophie musculaire de la colonne vertébrale (AMS)
Parmi les actions financées
* Technologies d’imagerie : projets de recherche axés sur l’élaboration de nouveaux appels de propositions pour les JPND : « Nouvelles méthodes et technologies d’imagerie et de stimulation du cerveau liées aux maladies neurodégénératives » ou sur l’amélioration de l’application des technologies d’imagerie de pointe existantes ;
* Techniques de stimulation du cerveau : l’objectif est de financer des recherches qui conduiront à des applications nouvelles ou améliorées de techniques de stimulation du cerveau, tant invasives que non invasives, pour le diagnostic et le traitement des maladies neurodégénératives
Informations complémentaires
* Cet appel à propositions est un appel à propositions ouvert
* Durée initiale de l’action : 3 ans
* Eligibilité :
– Être des groupes de recherche travaillant dans des universités (ou d’autres établissements d’enseignement supérieur), des instituts de recherche non universitaires publics ou privés, des hôpitaux et d’autres établissements de soins de santé et de services sociaux, ainsi que des sociétés commerciales, en particulier des petites et moyennes entreprises (PME) ;
– Les collaborations avec des entreprises n’appartenant pas au secteur médical traditionnel (par exemple, informatique, intelligence artificielle) sont les bienvenues ;
– Les consortiums doivent inclure entre trois et six partenaires réguliers, y compris le coordinateur ;
– Les consortiums doivent être issus d’au moins trois pays différents participant au présent appel ;
– Les consortiums ne doivent pas compter plus de deux partenaires réguliers du même pays
* Montant de la subvention : selon l’organisme contribueur
